Un diagnostic que l'on ne voulait pas entendre même si on s'en doutait
Un diagnostic que l'on ne voulait pas entendre même si on s'en doutait
Bonjour,
Mon conjoint a eu un diagnostic de cancer hier (vendredi le 15 février 2019), diagnostic qui n'a pas d'aller-retour c'est-à-dire qu'il a un cancer du poumon avec métastase un peu partout. Donc le médecin lui confirme qu'il ne pourra pas guérir. Moi je pense plus que c'est fulgurant car le 26 janvier il était en forme et à partir du 28 janvier le tout a dégringolé et il baisse à vue d'oeil. La semaine prochaine il est supposé avoir de la radiothérapie pour lui enlever un peu de douleur et dans l'autre semaine il devrait commencer un traitement qui ne le guérira pas mais qui lui donnera probablement une qualité de vie acceptable pour je ne sais combien de temps.
De son côté il a une belle famille et il est bien accompagné et j'essaie de faire de mon mieux moi aussi. De mon côté ma famille n'est pas très proche et je me sens très seule. Je veux l'accompagner le plus loin possible mais la vie continue pour tout le monde et je me sens démunie.
La question que je me pose c'est va-t'il se rendre jusqu'au 22 février pour avoir un début de traitement ?
Je fais quoi je me sens tellement seule dans tout ça.
Merci de m'aider. Est-ce que je peux avoir du soutien ? Quelqu'un avec qui parler je ne sais pas on vit dans la même maison c'est difficile de parler de mes émotions à quelqu'un pendant qu'il entend tout.
Merci de m'avoir lue.
Anne
Mon conjoint a eu un diagnostic de cancer hier (vendredi le 15 février 2019), diagnostic qui n'a pas d'aller-retour c'est-à-dire qu'il a un cancer du poumon avec métastase un peu partout. Donc le médecin lui confirme qu'il ne pourra pas guérir. Moi je pense plus que c'est fulgurant car le 26 janvier il était en forme et à partir du 28 janvier le tout a dégringolé et il baisse à vue d'oeil. La semaine prochaine il est supposé avoir de la radiothérapie pour lui enlever un peu de douleur et dans l'autre semaine il devrait commencer un traitement qui ne le guérira pas mais qui lui donnera probablement une qualité de vie acceptable pour je ne sais combien de temps.
De son côté il a une belle famille et il est bien accompagné et j'essaie de faire de mon mieux moi aussi. De mon côté ma famille n'est pas très proche et je me sens très seule. Je veux l'accompagner le plus loin possible mais la vie continue pour tout le monde et je me sens démunie.
La question que je me pose c'est va-t'il se rendre jusqu'au 22 février pour avoir un début de traitement ?
Je fais quoi je me sens tellement seule dans tout ça.
Merci de m'aider. Est-ce que je peux avoir du soutien ? Quelqu'un avec qui parler je ne sais pas on vit dans la même maison c'est difficile de parler de mes émotions à quelqu'un pendant qu'il entend tout.
Merci de m'avoir lue.
Anne